L’expression orale dans les classes primaires

Yvette Mrad El Gharib Chargée d’études du primaire à l’école Zahrat el IhsanL’expression orale
dans les classes primaires

En classe, « on » parle souvent trop. «On» c’est-àdire l’enseignant. Ce fait est couramment observé chez les enseignants débutants. C’est bien compréhensible, car l’image la plus répandue de l’enseignant est celle de quelqu’un qui explique et qui transmet par la parole: ilest certes plus facile pour l’élève de se croiser les bras et d’écouter le maître ou les autres parler. L’apprenant doit-il continuer à recevoir la parole du maître au milieu d’un silence pesant et imposant? Combien de fois, en moyenne, l’élève a-t-il l’occasion de s’exprimer en classe dans une langue qui n’est pas sa langue maternelle?
Dès les classes maternelles, l’enfant libanais doit s’adapter à une nouvelle langue, à une nouvelle syntaxe. L’école est pour beaucoup d’enfants le seul endroit où ils entendent et pratiquent le français. C’est pourquoi l’enfant devrait pénétrer dans l’espace de parole réservé en général au maître. Il doit surmonter ses craintes et sa résistance à la prise de parole. En effet, nous sommes tous d’accord sur le fait que la langue ne s’apprend pas seulement en écoutant, pas plus qu’elle ne répond à une programmation qui tiendrait compte d’une complexification progressive. Ceci sans oublier que la particularité du langage est qu’il progresse en fonctionnant quand il est utilisé en tant qu’outil.
La finalité de l’enseignement de la langue c’est l’expression. C’est pourquoi il serait intéressant de faire la distinction entre la production orale et l’expression. La production implique plutôt des questions fermées, alors que l’expression suppose des questions ouvertes. Le tableau ci-dessous illustre cette différence:
 

    La production                                                 L’expression 

Discours mémorisé : poésie

Discours spontané : improvisé

Discours stéréotypé : rituel d’accueil

Discours libre

Discours collectif : chants et comptines

Discours individuel

Discours donnant la priorité au descriptif

Discours impliquant son émetteur (je)

Métalangage (nom, adverbe)

Langue de communication

Priorité à la norme de la langue

Priorité au sens transmis

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est clair que l’enseignant devrait faire des allersretours entre l’enseignement de la production et celui de l’expression orale. Or, construire le langage nécessite laperception, de la part de l’enfant, de la diversité des  situations de communication. Ne sommes-nous pas appelés à programmer, à préparer et à mettre en place de vraies situations d’apprentissage, des séances d’expression orale? …

Avant de présenter quelques activités d’apprentissage de l’expression orale qui serviront d’exemples de séances à adapter dans les classes du cycle primaire, nous soulignons que l’enseignement de l’expression orale implique la prise de conscience des quatre niveaux de cette expression:
-Avoir quelque chose à dire ou à exprimer: choisir le thème et le support.
-Savoir le dire: fournir les éléments linguistiques.
-Avoir envie de le dire: adopter de la part de l’enseignant un comportement favorisant la parole chez l’apprenant.
-Avoir l’occasion de le dire: proposer diverses activités de communication, laisser le temps aux apprenants de s’exprimer.

Les activités suivantes pourraient être adaptées selon le niveau concerné.

Première activité
L’objectif: Mobiliser du lexique
L’activité: Les apprenants doivent choisir un mot dans la colonne A, un mot dans la colonne B et une lettre dans la colonne C. Ensuite, ils devront faire des phrases
en imaginant le plus de qualificatifs possible commençant par la lettre choisie. Exemple:
Le chat de ma grand-mère est gris.

A

B

C

Le chat

Le frère                  

La chambre             

La maison               

La voiture               

L’  écharpe           

Etc.

Du boulanger

du maître                            

du médecin                            

de la voisine                           

du pâtissier                                    

de mon ami

 

est

A B C D E F G H

I J K LM N O P

Q R S T UV W

X Y Z

 

 

 

Deuxième activité
L’objectif: Découvrir qui parle
L’activité: Les apprenants doivent lire les phrases ci–dessous et répondre à chaque fois aux questions suivantes:
-Qui peut prononcer cet énoncé?
-A qui s’adresse-t-il?
-Dans quelle situation?

1- Range tes livres
2- Mets de l’ordre dans ta chambre
3- Je n’ai plus de tartes aux fraises0decin
4- Il n’y a plus de place Etc.

Troisième activité
L’objectif: Parler de soichar[
L’activité: Les apprenants lancent un dé et font le parcours ci-dessous.
A chaque fois, ils doivent produire au moins trois phrases concernant le sujet indiqué dans la case. Lorsqu’ils tombent sur une case comportant un point d’interrogation, ils doivent poser une question à un camarade.

Quatrième activité
L’objectif: Imaginer, raconter une histoire

L’activité: Les apprenants doivent tracer une ligne passant par huit des dessins ci-dessous. Ensuite, ils imaginent une histoire dans laquelle devront apparaître les huit dessins choisis (ils commenceront par: “Il était une fois…”)

Cinquième activité
L’objectif: Passer du style direct au style indirect (et inversement)
L’activité: Commencer par le jeu du téléphone (portable). L’élève A fait la boîte vocale et souffle un message enregistré dans l’oreille de l’élève B:
Exemple:
Allô ! C’est Rami, je te donne rendez-vous dans la cour à la récré.
Puis l’élève B retransmet le message à quelqu’un à la classe ou à un groupe:
Rami dit qu’il me donne rendez-vous dans la cour à la récré.
On peut varier les messages, les compliquer au fur et à mesure. La transformation (ajout de dit que, te devient me) se fait intuitivement, et peut être rectifiée aisément si nécessaire.

Enfin, pour situer une activité, il serait utile que l’enseignant se pose les questions suivantes :
1- Quel en est l’objectif?
2- A quel niveau d’apprentissage peut-on l’introduire?
3- Quelles connaissances linguistiques préalables l’apprenant doit-il avoir?
4- Qu’apporte-t-elle aux apprenants en termes d’apprentissage?
5- Où s’inscrit-elle dans la progression?
6- A quel moment la proposerez-vous?
- Au cours d’une leçon normale?
- A la fin d’un cours?
- A n’importe quel moment?
7- Peut-on la proposer plusieurs fois
- telle quelle?
- avec une variante?
8- Quelle (S) préparation(S) exige-t-elle?
9- Quelles consignes faut-il donner?
10-Combien de temps dure-t-elle?
11- A quel moment et comment contrôlerez-vous la production linguistique? .

 

L’expression orale dans les classes primaires

Yvette Mrad El Gharib Chargée d’études du primaire à l’école Zahrat el IhsanL’expression orale
dans les classes primaires

En classe, « on » parle souvent trop. «On» c’est-àdire l’enseignant. Ce fait est couramment observé chez les enseignants débutants. C’est bien compréhensible, car l’image la plus répandue de l’enseignant est celle de quelqu’un qui explique et qui transmet par la parole: ilest certes plus facile pour l’élève de se croiser les bras et d’écouter le maître ou les autres parler. L’apprenant doit-il continuer à recevoir la parole du maître au milieu d’un silence pesant et imposant? Combien de fois, en moyenne, l’élève a-t-il l’occasion de s’exprimer en classe dans une langue qui n’est pas sa langue maternelle?
Dès les classes maternelles, l’enfant libanais doit s’adapter à une nouvelle langue, à une nouvelle syntaxe. L’école est pour beaucoup d’enfants le seul endroit où ils entendent et pratiquent le français. C’est pourquoi l’enfant devrait pénétrer dans l’espace de parole réservé en général au maître. Il doit surmonter ses craintes et sa résistance à la prise de parole. En effet, nous sommes tous d’accord sur le fait que la langue ne s’apprend pas seulement en écoutant, pas plus qu’elle ne répond à une programmation qui tiendrait compte d’une complexification progressive. Ceci sans oublier que la particularité du langage est qu’il progresse en fonctionnant quand il est utilisé en tant qu’outil.
La finalité de l’enseignement de la langue c’est l’expression. C’est pourquoi il serait intéressant de faire la distinction entre la production orale et l’expression. La production implique plutôt des questions fermées, alors que l’expression suppose des questions ouvertes. Le tableau ci-dessous illustre cette différence:
 

    La production                                                 L’expression 

Discours mémorisé : poésie

Discours spontané : improvisé

Discours stéréotypé : rituel d’accueil

Discours libre

Discours collectif : chants et comptines

Discours individuel

Discours donnant la priorité au descriptif

Discours impliquant son émetteur (je)

Métalangage (nom, adverbe)

Langue de communication

Priorité à la norme de la langue

Priorité au sens transmis

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est clair que l’enseignant devrait faire des allersretours entre l’enseignement de la production et celui de l’expression orale. Or, construire le langage nécessite laperception, de la part de l’enfant, de la diversité des  situations de communication. Ne sommes-nous pas appelés à programmer, à préparer et à mettre en place de vraies situations d’apprentissage, des séances d’expression orale? …

Avant de présenter quelques activités d’apprentissage de l’expression orale qui serviront d’exemples de séances à adapter dans les classes du cycle primaire, nous soulignons que l’enseignement de l’expression orale implique la prise de conscience des quatre niveaux de cette expression:
-Avoir quelque chose à dire ou à exprimer: choisir le thème et le support.
-Savoir le dire: fournir les éléments linguistiques.
-Avoir envie de le dire: adopter de la part de l’enseignant un comportement favorisant la parole chez l’apprenant.
-Avoir l’occasion de le dire: proposer diverses activités de communication, laisser le temps aux apprenants de s’exprimer.

Les activités suivantes pourraient être adaptées selon le niveau concerné.

Première activité
L’objectif: Mobiliser du lexique
L’activité: Les apprenants doivent choisir un mot dans la colonne A, un mot dans la colonne B et une lettre dans la colonne C. Ensuite, ils devront faire des phrases
en imaginant le plus de qualificatifs possible commençant par la lettre choisie. Exemple:
Le chat de ma grand-mère est gris.

A

B

C

Le chat

Le frère                  

La chambre             

La maison               

La voiture               

L’  écharpe           

Etc.

Du boulanger

du maître                            

du médecin                            

de la voisine                           

du pâtissier                                    

de mon ami

 

est

A B C D E F G H

I J K LM N O P

Q R S T UV W

X Y Z

 

 

 

Deuxième activité
L’objectif: Découvrir qui parle
L’activité: Les apprenants doivent lire les phrases ci–dessous et répondre à chaque fois aux questions suivantes:
-Qui peut prononcer cet énoncé?
-A qui s’adresse-t-il?
-Dans quelle situation?

1- Range tes livres
2- Mets de l’ordre dans ta chambre
3- Je n’ai plus de tartes aux fraises0decin
4- Il n’y a plus de place Etc.

Troisième activité
L’objectif: Parler de soichar[
L’activité: Les apprenants lancent un dé et font le parcours ci-dessous.
A chaque fois, ils doivent produire au moins trois phrases concernant le sujet indiqué dans la case. Lorsqu’ils tombent sur une case comportant un point d’interrogation, ils doivent poser une question à un camarade.

Quatrième activité
L’objectif: Imaginer, raconter une histoire

L’activité: Les apprenants doivent tracer une ligne passant par huit des dessins ci-dessous. Ensuite, ils imaginent une histoire dans laquelle devront apparaître les huit dessins choisis (ils commenceront par: “Il était une fois…”)

Cinquième activité
L’objectif: Passer du style direct au style indirect (et inversement)
L’activité: Commencer par le jeu du téléphone (portable). L’élève A fait la boîte vocale et souffle un message enregistré dans l’oreille de l’élève B:
Exemple:
Allô ! C’est Rami, je te donne rendez-vous dans la cour à la récré.
Puis l’élève B retransmet le message à quelqu’un à la classe ou à un groupe:
Rami dit qu’il me donne rendez-vous dans la cour à la récré.
On peut varier les messages, les compliquer au fur et à mesure. La transformation (ajout de dit que, te devient me) se fait intuitivement, et peut être rectifiée aisément si nécessaire.

Enfin, pour situer une activité, il serait utile que l’enseignant se pose les questions suivantes :
1- Quel en est l’objectif?
2- A quel niveau d’apprentissage peut-on l’introduire?
3- Quelles connaissances linguistiques préalables l’apprenant doit-il avoir?
4- Qu’apporte-t-elle aux apprenants en termes d’apprentissage?
5- Où s’inscrit-elle dans la progression?
6- A quel moment la proposerez-vous?
- Au cours d’une leçon normale?
- A la fin d’un cours?
- A n’importe quel moment?
7- Peut-on la proposer plusieurs fois
- telle quelle?
- avec une variante?
8- Quelle (S) préparation(S) exige-t-elle?
9- Quelles consignes faut-il donner?
10-Combien de temps dure-t-elle?
11- A quel moment et comment contrôlerez-vous la production linguistique? .

 

L’expression orale dans les classes primaires

Yvette Mrad El Gharib Chargée d’études du primaire à l’école Zahrat el IhsanL’expression orale
dans les classes primaires

En classe, « on » parle souvent trop. «On» c’est-àdire l’enseignant. Ce fait est couramment observé chez les enseignants débutants. C’est bien compréhensible, car l’image la plus répandue de l’enseignant est celle de quelqu’un qui explique et qui transmet par la parole: ilest certes plus facile pour l’élève de se croiser les bras et d’écouter le maître ou les autres parler. L’apprenant doit-il continuer à recevoir la parole du maître au milieu d’un silence pesant et imposant? Combien de fois, en moyenne, l’élève a-t-il l’occasion de s’exprimer en classe dans une langue qui n’est pas sa langue maternelle?
Dès les classes maternelles, l’enfant libanais doit s’adapter à une nouvelle langue, à une nouvelle syntaxe. L’école est pour beaucoup d’enfants le seul endroit où ils entendent et pratiquent le français. C’est pourquoi l’enfant devrait pénétrer dans l’espace de parole réservé en général au maître. Il doit surmonter ses craintes et sa résistance à la prise de parole. En effet, nous sommes tous d’accord sur le fait que la langue ne s’apprend pas seulement en écoutant, pas plus qu’elle ne répond à une programmation qui tiendrait compte d’une complexification progressive. Ceci sans oublier que la particularité du langage est qu’il progresse en fonctionnant quand il est utilisé en tant qu’outil.
La finalité de l’enseignement de la langue c’est l’expression. C’est pourquoi il serait intéressant de faire la distinction entre la production orale et l’expression. La production implique plutôt des questions fermées, alors que l’expression suppose des questions ouvertes. Le tableau ci-dessous illustre cette différence:
 

    La production                                                 L’expression 

Discours mémorisé : poésie

Discours spontané : improvisé

Discours stéréotypé : rituel d’accueil

Discours libre

Discours collectif : chants et comptines

Discours individuel

Discours donnant la priorité au descriptif

Discours impliquant son émetteur (je)

Métalangage (nom, adverbe)

Langue de communication

Priorité à la norme de la langue

Priorité au sens transmis

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est clair que l’enseignant devrait faire des allersretours entre l’enseignement de la production et celui de l’expression orale. Or, construire le langage nécessite laperception, de la part de l’enfant, de la diversité des  situations de communication. Ne sommes-nous pas appelés à programmer, à préparer et à mettre en place de vraies situations d’apprentissage, des séances d’expression orale? …

Avant de présenter quelques activités d’apprentissage de l’expression orale qui serviront d’exemples de séances à adapter dans les classes du cycle primaire, nous soulignons que l’enseignement de l’expression orale implique la prise de conscience des quatre niveaux de cette expression:
-Avoir quelque chose à dire ou à exprimer: choisir le thème et le support.
-Savoir le dire: fournir les éléments linguistiques.
-Avoir envie de le dire: adopter de la part de l’enseignant un comportement favorisant la parole chez l’apprenant.
-Avoir l’occasion de le dire: proposer diverses activités de communication, laisser le temps aux apprenants de s’exprimer.

Les activités suivantes pourraient être adaptées selon le niveau concerné.

Première activité
L’objectif: Mobiliser du lexique
L’activité: Les apprenants doivent choisir un mot dans la colonne A, un mot dans la colonne B et une lettre dans la colonne C. Ensuite, ils devront faire des phrases
en imaginant le plus de qualificatifs possible commençant par la lettre choisie. Exemple:
Le chat de ma grand-mère est gris.

A

B

C

Le chat

Le frère                  

La chambre             

La maison               

La voiture               

L’  écharpe           

Etc.

Du boulanger

du maître                            

du médecin                            

de la voisine                           

du pâtissier                                    

de mon ami

 

est

A B C D E F G H

I J K LM N O P

Q R S T UV W

X Y Z

 

 

 

Deuxième activité
L’objectif: Découvrir qui parle
L’activité: Les apprenants doivent lire les phrases ci–dessous et répondre à chaque fois aux questions suivantes:
-Qui peut prononcer cet énoncé?
-A qui s’adresse-t-il?
-Dans quelle situation?

1- Range tes livres
2- Mets de l’ordre dans ta chambre
3- Je n’ai plus de tartes aux fraises0decin
4- Il n’y a plus de place Etc.

Troisième activité
L’objectif: Parler de soichar[
L’activité: Les apprenants lancent un dé et font le parcours ci-dessous.
A chaque fois, ils doivent produire au moins trois phrases concernant le sujet indiqué dans la case. Lorsqu’ils tombent sur une case comportant un point d’interrogation, ils doivent poser une question à un camarade.

Quatrième activité
L’objectif: Imaginer, raconter une histoire

L’activité: Les apprenants doivent tracer une ligne passant par huit des dessins ci-dessous. Ensuite, ils imaginent une histoire dans laquelle devront apparaître les huit dessins choisis (ils commenceront par: “Il était une fois…”)

Cinquième activité
L’objectif: Passer du style direct au style indirect (et inversement)
L’activité: Commencer par le jeu du téléphone (portable). L’élève A fait la boîte vocale et souffle un message enregistré dans l’oreille de l’élève B:
Exemple:
Allô ! C’est Rami, je te donne rendez-vous dans la cour à la récré.
Puis l’élève B retransmet le message à quelqu’un à la classe ou à un groupe:
Rami dit qu’il me donne rendez-vous dans la cour à la récré.
On peut varier les messages, les compliquer au fur et à mesure. La transformation (ajout de dit que, te devient me) se fait intuitivement, et peut être rectifiée aisément si nécessaire.

Enfin, pour situer une activité, il serait utile que l’enseignant se pose les questions suivantes :
1- Quel en est l’objectif?
2- A quel niveau d’apprentissage peut-on l’introduire?
3- Quelles connaissances linguistiques préalables l’apprenant doit-il avoir?
4- Qu’apporte-t-elle aux apprenants en termes d’apprentissage?
5- Où s’inscrit-elle dans la progression?
6- A quel moment la proposerez-vous?
- Au cours d’une leçon normale?
- A la fin d’un cours?
- A n’importe quel moment?
7- Peut-on la proposer plusieurs fois
- telle quelle?
- avec une variante?
8- Quelle (S) préparation(S) exige-t-elle?
9- Quelles consignes faut-il donner?
10-Combien de temps dure-t-elle?
11- A quel moment et comment contrôlerez-vous la production linguistique? .