Poème offert à Jawdat Haydar - Bouteille à la mer

Poème offert à Jawdat Haydar

 

Bouteille à la mer

 

Connaîtras-tu jamais une autre récompense

Que de livrer ton sort aux vagues de la mer

Libre mais prisonnier, égaré mais amer

Combien de siècles d’eau ta lecture compense !

 

Messager qui vient dire dans un langage dense

Quand le vent sur les flots est un présage amer

Que l’existence lourde et pourtant si légère

 Est la rose de soif que le sable condense

 

Tu danses sur les flots épousant la cadence

Des rêves infinis de toute décadence

Sur l’écume traçant la houle du destin

 

Sauront-elles jamais que tu es conscience

Qui meurt de solitude et ne meurt que d’absence

Etranger, pour qu’elle vive ouvre ce parchemin !

                  

                          Ramzi Abou Chacra

Poème offert à Jawdat Haydar - Bouteille à la mer

Poème offert à Jawdat Haydar

 

Bouteille à la mer

 

Connaîtras-tu jamais une autre récompense

Que de livrer ton sort aux vagues de la mer

Libre mais prisonnier, égaré mais amer

Combien de siècles d’eau ta lecture compense !

 

Messager qui vient dire dans un langage dense

Quand le vent sur les flots est un présage amer

Que l’existence lourde et pourtant si légère

 Est la rose de soif que le sable condense

 

Tu danses sur les flots épousant la cadence

Des rêves infinis de toute décadence

Sur l’écume traçant la houle du destin

 

Sauront-elles jamais que tu es conscience

Qui meurt de solitude et ne meurt que d’absence

Etranger, pour qu’elle vive ouvre ce parchemin !

                  

                          Ramzi Abou Chacra

Poème offert à Jawdat Haydar - Bouteille à la mer

Poème offert à Jawdat Haydar

 

Bouteille à la mer

 

Connaîtras-tu jamais une autre récompense

Que de livrer ton sort aux vagues de la mer

Libre mais prisonnier, égaré mais amer

Combien de siècles d’eau ta lecture compense !

 

Messager qui vient dire dans un langage dense

Quand le vent sur les flots est un présage amer

Que l’existence lourde et pourtant si légère

 Est la rose de soif que le sable condense

 

Tu danses sur les flots épousant la cadence

Des rêves infinis de toute décadence

Sur l’écume traçant la houle du destin

 

Sauront-elles jamais que tu es conscience

Qui meurt de solitude et ne meurt que d’absence

Etranger, pour qu’elle vive ouvre ce parchemin !

                  

                          Ramzi Abou Chacra